Skip to main content
Les aventures de Sinbad vf, manga traduit en français.

Les aventures de Sinbad Chapitres 72 et 73

Salut à toutes et à tous !

Ça gaze ?
On se retrouve pour une nouvelle news, accompagnée de deux, oui j’ai bien dit deux chapitres de Sinbad ! Mais, avant de vous donner tout ça, j’ai envie de vous raconter une petite histoire, c’est une première alors soyez indulgents et n’hésitez pas à dire si ça vous plaît pour que j’en refasse de temps en temps.Vous allez voir, c’est une histoire très simple, elle commence dans une petite librairie au milieu d’une grande ville très moderne. Cette échoppe est tenue par un vieil homme du nom de Raimond et par son petit-fils Simon, un jeune homme vigoureux et intelligent qui vient l’aider de temps à autres. Tout allait pour le mieux pour les deux hommes, mais un jour, une grande firme immobilière posa le regard sur le terrain loué pour la librairie. En effet, la zone était très bien desservie par les commerces de proximité, les moyens de transport modernes, le parc bordant le canal traversant la ville ainsi que par une vue imprenable sur le couché de soleil sur la place la plus réputée du pays. C’était un endroit parfait pour la construction d’un nouvel hôtel de luxe. Pour arriver à leurs fins, les dirigeants ont soudoyé le particulier louant l’espace à la librairie et réussi à décrocher le contrat de vente ! Lorsqu’ils apprirent cela, les deux hommes furent abattus mais le petit-fils fit preuve de détermination et refusa de se laisser faire ! Il fit appel à son bon ami avocat Marc, un homme à peine plus vieux et compagnon de longue date. N’ayant aucune affaire en cours, il rappliqua au plus vite, et, après une brève explication, leur expliqua que ce genre de contrat possédait souvent des failles et qu’il fallait en demander une copie afin de les examiner. Raimond et Simon se regardèrent avec un visage éberlué, comme pour dire « pourquoi n’y a-t-on pas pensé plus tôt !? » et s’empressèrent d’appeler le bailleur pour avoir le document.
Ils durent attendre une journée complète, qui leur parue une semaine entière, avant de recevoir la copie du contrat, et là une nouvelle leur redonna espoir : ils pouvaient se battre sur le prix de vente et court-circuiter la firme en proposant une offre plus élevée et ceci dans un délai de vingt jours depuis la première offre, comme une sorte d’enchère. Simon demanda avec empressement le prix proposé par leur adversaire et Raimond faillit de nouveaux perdre espoir en entendant le montant, pas moins de 140 000 €. On ne pouvait pas dire que la situation était à leur avantage, loin de là, mais au moins maintenant ils pouvaient essayer de sauver leur librairie. Raimond sortit une petite calculatrice probablement aussi vielle que le magasin et se mit à compter et griffonner des chiffres sur un morceau de papier, Marc et Simon le regardèrent faire en silence, puis, après plusieurs minutes, l’ancien leur annonça d’une voix laissant paraître son désespoir qu’il ne pouvait mobiliser qu’environ 120 000 euros en prenant en compte toutes ses économies. Après un court silence, Simon se redressa et s’exclama « La banque ! ». Marc ne compris pas tous de suite où le jeune homme voulait en venir, puis son visage s’éclaircit : « Mais oui ! Vous pourriez demander un prêt ! » -lui répondit l’avocat. » Votre affaire tourne bien je suis sûr qu’ils accepteront ! » s’exclama-t-il. Pour renchérir sur leur offre, il vous faut une mise d’au moins 5000 euros de plus, il faut donc emprunter 25000 euros. Sans perdre une seconde, Simon se leva et empoigna son manteau ainsi que celui de son grand-père et expliqua rapidement à Marc que leur banquier était un de leurs habitués et que cela pourra faciliter la démarche. Sans attendre de réponse, il prit Raimond par le bras, qui réalisait à peine ce qu’il se passait, et l’emmena directement chez le banquier tout en laissant Marc sans instruction.
Ils ne rentrèrent que tard de leur rendez-vous, Marc les attendait sur le pas de la porte de la librairie en lisant un roman de Le Clézio qu’il referma en les apercevant. Il les accueillit chaleureusement et leur expliqua qu’il n’avait trouvé aucun moyen de contrer la vente sans avoir à renchérir mais que s’ils surenchérissaient à la dernière minute, la société adverse n’aurait pas le temps de réagir et ils gagneraient la vente, ce fut une nouvelle que les deux compères surent apprécier. De leur côté, Raimond et Simon ont réussi à obtenir un prêt de la banque mais le montant de ce dernier est encore incertain, il oscillerait entre 20000 et 30000 euros mais leur banquier devait demander l’accord de ses supérieurs. Avant de partir, il leur avait assuré qu’il ferait tout son possible pour obtenir le montant souhaité.
L’attente de la réponse du banquier fut insoutenable, Simon tournait au milieu des étagères en bois en prenant un livre au hasard, lisait les premières pages puis le reposait et allait en chercher un autre. Raimond, quant-à-lui, passait ses journées à ranger et classer par ordre alphabétique tous ses bouquins et à faire le ménage dans tous les recoins de la boutique. Il ne faisait presque plus attention aux sons de la petite clochette accrochée à la porte annonçant l’arrivé d’un client. Marc, lui, passait tous les jours jusqu’à tard le soir, directement après avoir terminé son travail, et rester à regarder les deux comparses patienter nerveusement tout en essayant de les rassurer que tout allait bien se passer. Ce ne fut que douze jours avant la vente définitive que le banquier les contacta. Lorsque le téléphone de Simon avait sonné, tout le monde s’était tu et approché, le banquier fit donc le compte rendu de son entretien avec ses supérieurs et leur annonça que le prêt ne s’élève qu’à 23 000 euros. Simon ne répondit pas immédiatement, puis fini par remercier le banquier de ses efforts et raccrocha poliment. Le silence était lourd entre les trois hommes et les morales au plus bas. Tous se demandaient comment ils pourraient faire pour obtenir les 2 000 euros manquants. Simon se demandait si, en se serrant la ceinture, il ne pourrait pas venir en aide à son grand-père, en vain. Marc réfléchissait à un moyen d’obtenir une avance sur son salaire mais ne trouvait aucune idée, après tout, il n’était avocat que depuis 3 ans. Raimond, lui, était abattu et refoulait avec nostalgie les souvenirs qui s’étaient créés en ce lieu. Mais Simon ne voulait pas s’avouer vaincu, il tenait trop à cet endroit pour l’abandonner si facilement. Il décida de sortir seul pour réfléchir. Pendant ce temps le vieil homme continuait de ruminer le passé et racontait à Marc les jours heureux et les peines vécus dans la librairie, comme cette fois où il avait repeint avec son fils l’enseigne qui s’était décrochée un soir d’orage et s’était abîmée en tombant sur les pavés bordant la boutique. Ou encore la fois où Simon avait reçu son premier livre… Marc l’écoutait attentivement en compatissant face à la situation du vieil homme.
Simon continuait de marcher, perdu dans ses pensées. Le temps passait rapidement, cela faisait déjà plusieurs heures qu’il déambulait dans les rues, son chemin l’avait mené jusqu’aux abords d’une école qui semblait fortement agitée Il s’approcha, intrigué. Une collecte de jouets pour les enfants vivant dans des familles défavorisées se tenait là. Ce fut à ce moment que l’idée fusa dans l’esprit du jeune homme : une collecte, c’était leur ultime chance de gagner la vente. Ni une ni deux, Simon rentra en courant à la librairie pour exposer son idée à son ami et à son grand-père.
Marc et Raimond furent étonnés de voir Simon autant se précipiter, ce dernier encore haletant leur expliqua son plan : il voulait organiser une collecte de fonds parmi les habitués du commerce en comptant sur leur générosité pour cumuler la somme manquante. Après l’avoir écouté attentivement, les deux hommes retrouvèrent espoirs et se mirent immédiatement à réfléchir à l’organisation de la collecte. « Pour commencer, il faut faire un peu de pub pour mettre les clients au courant » avait déclaré Marc, « ils pourraient peut-être donner quelques choses en échange comme des parts de gâteaux pour les petits dons et des livres choisis par mes soins pour de plus gros dons » avait enchaîné Raimond. Simon, qui avait récupéré de sa course, proposa d’ouvrir un compte sécurisé en ligne afin de permettre des virements pour les clients ne pouvant ou ne voulant pas se déplacer de chez eux. C’est avec motivation que les trois hommes organisèrent la collecte durant quatre jours complets, il n’en restait donc plus que huit avant la fin de la vente. La collecte commença enfin à l’aube de la dernière semaine….

C’est ici que s’arrête mon histoire, car maintenant c’est à vous d’écrire la suite ! En effet, notre plate-forme rencontre des problèmes de financement, nous nous en remettons alors à vous pour nous aider dans cette collecte, on ne pourra pas vous donnez de gâteau comme Raimond mais si vous nous aidez, nous pourrons continuer d’avancer. Nos délais sont très courts alors faites vite, s’il vous plaît !

Sans plus tarder, voici la suite tant attendue de Sinbad, chapitres 72 et 73 !

Je publierai la fin de l’histoire dans la prochaine news, celle-ci suivra le déroulement des prochains événements.
PS : je rappelle qu’on recrute toujours aux postes de cleaner, éditeur et aussi traducteur, un peu de main d’œuvre nous aiderait beaucoup
Sur ce, bonne lecture et je vous dis à une prochaine fois !

Portez-vous bien ^^

buy windows 10 home

Partagez avec vos amis

Shares

4 thoughts to “Les aventures de Sinbad Chapitres 72 et 73”

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *